Mila Nowan...attention, les apprences sont trompeuses....

Quel passé cache t-il ?

Mercredi 30 juin 1961 [1h00 du matin.]
Mon père chantonnait dans les rues de New york. Je souris, heureuse de le voir si heureux. J'avais beau avoir 18 ans, j'étais petite à côté de lui, je ne faisais que 1m64 après tout. Il chantonnait les Rolling Stones, car nous revenions d'un de leur concert. J'avais A-D-O-R-E ! C'était génial !

"-I can't get no satisfaction
I can't get no satisfaction
'cause i try and i try and i try and i try
I can't get no, i can't get no "

Je souris, et je me surpris à siffloter cet air ! Mon père attrape une raquette qui traîne près de la poubelle et se met à chanter tout en prenant la raquette pour une guitare. Il a un poil trop bu....je lève les yeux au ciel et ne peux cependant m'empêcher de rire en le voyant genoux à terre en train de balancer la raquette à l'autre bout de la rue, si bruyamment qu'une vielle proteste. Nous continuons à marcher, et nous parlons de ce concert si géniallissime. Soudain, 2 chats nous filent une peur bleue en débarquant dans la rue en se crachant dessus et en se griffant. Mais alors que nous nous regardons avec un léger sourire aux lèvres, un homme aux cheveux noirs mi-long et au regard de pierre se plante devant nous. Il avance vers moi, mais mon père s'interpose.

"-Cours ! Cours Mila !"

Mais mes jambes ne m’obéissent plus. L'inconnu plante ses dents dans le cou de mon père, ses yeux plantés dans les miens semblant dire "Bouge pas, c'est ton tour dans 5 minutes."Il relâche enfin mon père, et son corps tombe à terre, inconscient. Je regarde l'inconnu, un poil inquiète. La seconde d'après, je cours comme une folle vers l'autre bout de la rue en criant. Des larmes roulent sur mes joues, je me retourne, haletante. Quand je me retourne, je freine de justesse devant un mur de pierre. Une impasse ! M**** ! Je me plaque contre le mur, un rire résonne soudainement. SON rire. Il va m'avoir c'est sûr. Il s'avance vers moi et me caresse le visage, je tente de lui mettre un coup de genou dans l'entre jambes, mais il m'enserre les jambes et les poignets, avec une force surhumaine. je ne peux ma débattre, attachée par sa poigne de fer. Il met un doigt sur sa bouche, m'intimant le silence. Il me penche le cou sur la droite, et plante ses crocs de ma nuque. Noir....Complet et Douleur, douleur absolue.

Mercredi 30 juin [5h00 du matin]
Le soleil se lève, lentement et ses rayons me réveille. Je ne peux pas bouger, la douleur est encore là. Pendant tout ce long moment, j'avais été dans le noir complet, le néant et surtout, torturée par la douleur. Un tourbillon de feu semblait m'être passé dessus. Un bout de verre brille devant moi, je l'attrape et...me regarde dedans. Mon visage est toujours là, mais il est plus blanc, et je semble plus...belle. Cela aurait pu me réjouir si je n'avais pas su que à quelques mètres gisait le cadavre de mon père. je croyais avoir été morte, mais non, visiblement je ne l'étais pas. Pas du tout même. Au contraire, je semblais ressentir tout x100. J'étais affamé, je sentais tout, entendait tout, et en parlant d'ouï, j'entendais des gens qui arrivait à l'endroit où devait gisait mon père. je n'entendis aucun cri, strictement aucun. Et réalisant qu'il venait vers moi, je me relevais en allant chercher au fond de moi même les quelques lambeaux de force qu'il me restait. je me cachais derrière un conteneur, et je sentis les humains passaient à côté de moi. Plus exactement, j'entendis et sentis leur sang dans leurs veines. J'étais attiré par leur sang, je le voulais. Alors, je sortis de ma cachette, et vis que c'était une bande de garçons sans cervelle, qui cherchait sûrement une fille pour lui faire je ne sais quoi et je ne veux pas le savoir, car il me déclarèrent :

"-Eh, poupée viens voir un peu ici, dis donc t'es jolie !"

Je ne pus m'empêcher de sourire, et je leur sautais dessus, car mon instinct pris le...dessus. Je buvais leur sang, comme l'avais fait l'inconnu, mais je ne les laissais pas en vie, je ne savais pas comment on faisais. Une fois que j'eus bus le sang des 4 garçons, je sentis mes forces affluées en vitesse. une fois devant leurs cadavres, j'eus beau me dire que ce n'était pas une grande perte, je me sentis d'être un monstre, mais la seconde d'après, je me dis que c'était de leur faute après tout. j'avais un peu de scrupules, mais c'était trop tard, il fallait bien que je me.......me.....nourrisse si j'ai bien.....compris. Je cachais les cadavres et les brulaient. Je me mis à courir, et découvris que ma vitesse avait, elle aussi augmentée. je rentrais chez moi, et courus tout raconté à ma mère. Elle ne sembla pas étonnée, et me raconta que mon père était passé, semblant différent et lui avait out raconté. Il était lui aussi un....vampire.

20 août 2009 [18h00]
Je courus après un taxi jaune avec des carreaux noirs, qui finit par se stopper. Je grimpais dedans, et dit au chauffeur :

"-Little Italy in the Bronx.
-Oh mais Mam'zelle c'est à l'aut' bout de la ville ça ! HIC ! Il faud'a un bon pou'boire !"

Je lui fis un grand sourire, et il démarra au quart de tour et en quelques minutes je fus à ma maison. Je m’éventais de l'haleine de bière du chauffeur et le remercier d'un grand sourire, et surtout de le laisser en vie. Je sortis mes clés de mon sac avec l'insigne des Rolling Stones, et rentrait dans l'appart-maison. Je jetais mon sac sur la banquette, et pris un verre de jus d'orange dans le frigo. Puis j'appelais ma mère.

"-Maman ?"

Aucune réponse.

"-Maman ?!"

Toujours aucune réponse. Je montais les escaliers et entendis des sanglots étouffés. je déboulais dans sa chambre comme une tornade, et m'assis à côté d'elle. J'avais appris depuis longtemps à ne pas avoir envie de boire tout son sang, même si cela avait été très très dur.

"-Que se passe t-il Maman ? Maman ! Que se passe t-il ?
-Il...il...te...te...réclame. Il..a...a...promis de ne pas me toucher si je te rendais à lui...car il vont...vont prendre la contrôle de la ville. Je...je....
-Je t'inquiètes pas Maman, je vais aller me prendre un appart, et je vais lui dire que c'est bon, toi tu vas quitter la ville."

Elle tenta de protester, mais n’eut pas la force. Je la couchais, et commandais 2 pizzas. Je n'eus même pas à payer, mon sourire suffit. je portais une part de royale à ma mère, et me pris une part à moi aussi et m'installais pour chercher un appart près de Central Park. J'en trouvais un facilement et un appel et je l'avais en promettant que mon père payerait. Quatre minutes plus tard, je l’appelais et il dit oui et qu'il viendrait me prendre dans 15 min. je dis au revoir à ma mère, les larmes aux yeux en promettant de revenir.

15 + tard...
une sonnette retentit. Je vais ouvrir Mon père a toujours ses 44ans, et est aussi beau que dans mon souvenir. Il me sourit d'une façon énigmatique. Je ne réponds pas. j'ai fait ma valise, ou plutôt MES valises. Nous les mettons dans le vieux pick-up vert foncé, et il m'expose leur plan pour la révolte. je le préviens que je ne veux pas être u des joueurs principales de la révolte. Il arrête de sourire, mais me prévient que j'aurais un rôle moyennement important, et d'après son ton, je comprends que je ne dois pas relever. Compris Papa. T'es le chef. Mais ni crois pas trop, je me suis endurcie en 50 ans. Il me déposa à mon appartement et me prévint que il me contacterais bientôt. Je rangeais mes affaires et contemplais mon appart qui était magnifique. la révolta allait bientôt sonner.

Comment est-il ?

Mila a des cheveux châtains clairs bouclés, qui lui arrive au milieu du dos. Elle fait 1m64 pour 52 kg. Une poitrine bien proportionnée, une taille plutôt bien marquée, et un visage doux avec un petit nez et de belles lèvres rouges cerise, ses yeux noisettes envoûtants, tout cela donne une jeune fille de 18ans qui attire l'oeil, et la seule chose qui peu semblait un peu bizarre, c'est qu'elle est un tout petit peu pâle. Mila est une jeune fille qui n'a pas beaucoup changé depuis le temps où elle était humaine; La seule chose qui a changé est son envie de sang, sa force surhumaine, sa vitesse, etc. Elle est resté pleine de joie de vivre, et ce qu'elle adore plus que tout c'est peindre, faire des créations sur ordinateur, dessiner donc, le silence. Ce qui ne l'empêche pas d'aimer faire la fête, et le shopping, mais Mila préfère s’installait dans central park et faire son métier d'artiste pour aller ensuite vendre ses toiles à divers endroits, où encore rêver. Bien sûr, comme pratiquement tous les vampires Mila aime bien se nourrir, mais sans plus. En conclusion, gare à elle, car elle a beau avoir l'air gentille et timide, elle s'avère être dangereuse quand elle le souhaite.

Toi! Derrière ton ordi

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